LE PRINCIPE DES "CAUSES ACTUELLES"


(Cinq mille ans de délires... auxquels les derrières observations astronomiques n’échappent pas !)

Le principe des «causes actuelles» stipule que les conditions générales physico-chimiques du milieu (de la planète) sont stables et sont restées inchangées dans le temps depuis les «origines».

Une stupidité qui a conduit à des absurdités qui semblent invraisemblables après réflexion mais ont conduit à des impasses scientifiques durables et qui conduisent encore à des élucubrations délirantes...

«Principe des causes actuelles» que de crimes (contre la pensée) commet-on (encore) en ton nom !


Les fluctuations de paramètres physiques

-  Jour et année :

L'évolution de la durée du jour au cours des époques géologiques a été vérifiée expérimentalement au XXe siècle en comptant les cercles de croissances des coraux fossiles.

Les coraux ont une croissance liée à l'éclairement diurne (formation du squelette calcaire uniquement le jour), mensuelle (coraux soumis aux marées) et annuelle (épaisseur des lignes de croissance différentes l'été et l'hiver).

 


Il est ainsi possible de déterminer le nombre de jours par an aux époques géologiques, comme pour les Rugosa, coraux du Dévonien datés par radio-chronologie de quatre cent millions d'années, qui montrent environ quatre-cent-dix lignes de croissance annuelles contre trois-cent-soixante-cinq pour les coraux actuels.

Sur d'autres coraux du Dévonien sont identifiées des bandes mensuelles équivalentes aux intervalles entre les phases de pleine lune et correspondant à treize mois lunaires par année dévonienne de trois cent quatre-vingt-dix-neuf jours.

D’où le tableau évolutif suivant :

La question n’est pas ici de discuter du bien-fondé de la datation absolue et de son découpage, mais bien de constater par ses effets biologiques que la durée du jour et la période de rotation de la terre ne sont pas constantes dans le temps et qu’apparemment la rotation terrestre est en ralentissement continu...


- Variations de la composition de l’atmosphère : oxygène


- Fluctuations de la teneur en gaz carbonique

On constate que le teneur en oxygène a varié en raison inverse de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère.

En particulier la forte teneur en oxygène de la période secondaire permet d’expliquer la présence et le développement des dinosaures : la puissance musculaire est directement liée à la capacité métabolique des oxydations cellulaires largement augmentée lorsque la teneur en oxygène est accrue.

De ce fait les considérations biomécaniques qui ont conduit à penser que « ces animaux trop gros pour évoluer en milieu terrestre ne pouvaient se déplacer que dans des zones marécageuses pour bénéficier de la poussée d’Archimède » (sic!)

La stupidité de la chose n’a effleuré personne : l’enlisement est apparemment un concept non scientifique ! Les mêmes énonceront gravement que les bergers landais utilisaient des échasses pour surveiller les troupeaux en bordure des marais ! Cela traîne partout même dans les dépliants des offices de tourisme... J’attends que quelqu’un m’explique comment on peut évoluer quand on a ses deux échasses fichées dans la boue !

Il est donc clair que les paramètres physico-chimiques supposés «constants dans le temps» ne l’ont jamais été !


Les fruits de l’extrapolation du délire scientifico-médiatique 

Kepler 452 b - Ou comment confondre (une fois de plus !) «précision» et «certitude»

De quoi s’agit-il ?

De la découverte avérée, après examen de centaines de photos, d’une tache mouvante périodique sur la brillance d’une étoile, autrement dit de l’existence probable (mais pas même certaine !) d’une planète en orbite autour de cette étoile qui laisse - vue du télescope – une ombre sur la surface de l’étoile quand elle passe «devant»... Et c’est tout !

Qu’on en déduise par le calcul sa taille et sa masse potentielle à partir de son diamètre apparent et d’une supposée composition rocheuse moyenne «standard» est une chose déjà hasardeuse en soi, mais en déduire comme certains scientifiques le déclarent qu’il s’agirait d’une planète sœur de la terre propre à la vie (humaine) est aussi grotesque que stupide !

Oublierait-on sur Terre que la vie y était extrêmement difficile en milieu terrestre jusqu’à la fin du Silurien par suite de la composition de l’atmosphère ?

Oublierait-on aussi qu’envoyer des hommes à un million et demi d’années lumière n’a aucun sens !

(J’ajouterai enfin que si effectivement la gravité y est double de ce qu’elle est sur terre, on n’a aucune chance de pouvoir y envoyer des personnes du beau sexe... Quelle femme taillant un petit 38 accepterait de se réveiller là-bas le matin en sachant qu’elle pèse plus de cent kilos ?...)

Mais cela ne décourage pas les médias en délire souvent épaulés hélas par le milieu scientifique qui se répand en vidéos.  


On a même droit à des paysages !


On attend maintenant les premières photos des dinosaures (ou « trinosaures » ?) qui s’y trouvent !


L’eau sur Mars existe et elle est salée !

C’est nouveau, cela vient de sortir...avant hier ! 

A partir de cette photo, on déduit de ces variations de teinte l’existence de coulées périodiques d’eau salée.... Il est vrai que les photos déjà connues suggèrent un matériel géologique de type «galet», ce qu’on peut associer chez nous à des formations géologiques de type poudingue comme à Riez-Valensol.

Mais de là à en déduire l’existence d’une érosion et d’un remaniement de type fluvial il y a des limites !


Claude Timmerman