Ce nouvel immigrant arrive en général d’Afrique trans-saharienne ou du Moyen Orient, transitant depuis l’Europe de l’est où des populations rélictuelles, fruits d’invasions anciennes avérées, ont été identifiées et y sont bien connues depuis des siècles, notamment en Grèce et dans les Balkans.

De ce fait, on distingue aujourd’hui assez facilement deux types dans ces populations migrantes suivant leur coloration, l’une étant nettement plus foncée que l’autre.

Pourtant, la très officielle carte de répartition d’origine de ces migrants tient compte de cette dualité et elle est particulièrement éclairante :

On en trouve même maintenant certains parvenus jusqu’en Scandinavie !

Depuis les années 80, ces nouveaux migrants sont devenus beaucoup plus fréquents en Occident, où ils se sont organisés en microsociétés locales grâce à la généralisation du regroupement familial.

Ils sont connus pour leur capacité d’intégration, notamment à notre mode de vie urbain, tout en s’affichant comme farouchement hostiles à toute tentative d’assimilation.

Ils restent fondamentalement et viscéralement communautaristes.

Ce sont d‘abord des opportunistes qui se nourrissent des rapines qu’ils commettent.

Ils n’hésitent, pas pour ce faire, à voler les communautés de riverains avec lesquels ils sont en contact, et montrent beaucoup d’audace, seuls ou en groupes, pour parvenir à leurs fins.

Les rixes qu’ils provoquent sont fréquentes, même à l’intérieur de leurs propres clans, ce qui contribue à créer un climat d’insécurité régulièrement dénoncé par les médias dans les zones qu’ils ont investies.

Vis-à-vis des autorités, nationales comme locales, ces nouveaux migrants n’ont pas de statut juridique propre, mais ils jouissent d’un niveau de protection européen reconnu, qualifié de « modéré » par les médias.

Ce niveau qui est jugé évidemment insuffisant par les associations de protection des pays où ils s’installent, est déjà considéré comme trop permissif par les souchiens locaux, aussitôt qualifiés de « petits blancs hostiles, repliés sur eux-mêmes, adeptes d’une vision figée de leur monde d’où toute intrusion doit être bannie» par les commentateurs engagés qui n’hésitent pas à mettre en avant « l’enrichissement du territoire que ces populations nouvelles ne manqueront pas d‘apporter ».

Ils font déjà l’objet d’un programme spécifique de protection en Grèce.

Ils sont maghrébins, subsahariens, balkaniques, afghans ou pakistanais : ce seront de nouvelles chances pour la France ! Qu’on se le dise… Ils arrivent maintenant à travers les Alpes : leur présence était attestée depuis un moment déjà en Suisse et en Autriche, comme en Italie. Certains viennent d’être repérés récemment s’infiltrant en Haute Savoie !

François Moutou, spécialiste de ces populations, interrogé sur cette nouvelle vague migratoire, a été très clair et n’a pas semblé particulièrement étonné de la présence en France de ces nouveaux migrants :

« On savait qu'il était déjà en Italie et en Suisse. Qu'un individu ou deux passent la frontière, cela faisait partie des choses assez probables. L'espèce est en expansion depuis les Balkans, depuis la fin du XXe siècle. Elle est partie depuis le centre de l'Europe vers les pays Baltes, puis vers l'ouest…. » https://www.francetvinfo.fr/animaux/chacal-dore-repere-en-haute-savoie-cela-faisait-partie-des-choses-assez-probables-puisqu-il-etait-en-italie-et-en-suisse_2522571.html

Ne nous méprenons pas car les apparences pourraient être trompeuses, surtout après ce qu’on vient d’en lire…

Ce nouvel immigrant, c'est lui : le chacal !


Et aujourd’hui, cela doit nous interpeler sur un plan eschatologique…

Ce migrant, originellement transsaharien, connaît actuellement une explosion démographique en Europe de l’ouest, tandis que le chien viverrin, migrant ou importé, connu depuis des siècles mais considéré aujourd’hui comme invasif, est originaire lui de Chine puis d’Eurasie nord orientale, s’implante beaucoup plus lentement en Occident…

Claude Timmerman

PS : Toute analogie avec d’autres phénomènes migratoires de déroulant actuellement serait « évidemment » fortuite.